La grande amour que vous m'aviez donnéeLe vent des jours a rompu ses rayons -Où fut la flamme, où fut la destinéeOù nous étions, où par la main serréeNous nous tenionsNotre soleil, dont l'ardeur fut penséeL'orbe pour nous de l'être sans secondLe second ciel d'une âme
à Louise aussi de Lyon et d’Italieà vous mes nuits, ô noires attenduesà pays fier, ô secrets obstinésà longs regards, ô foudroyantes nuesà vol permis outre les cieux fermés.à grand désir, ô surprise épandueà beau parcours de l’esprit enchantÃ
AveTrès haut amour, s’il se peut que je meureSans avoir su d’où je vous possédais,En quel soleil était votre demeureEn quel passé votre temps, en quelle heureJe vous aimais,Très haut amour qui passez la mémoire,Feu sans foyer dont j’ai fait tout mon jour,En que